~ LIBRAIRIE ~
Si ça saigne
Les journalistes le savent : si ça saigne, l'info se vend. Et
l'explosion d'une bombe au collège Albert Macready est du pain béni dans
le monde des news en continu. Holly Gibney de l'agence de détectives
Finders Keepers, travaille sur sa dernière enquête lorsqu'elle apprend
l'effroyable nouvelle en allumant la télévision. Elle ne sait pas
pourquoi, le journaliste qui couvre les événements attire son
attention...
Quatre nouvelles magistrales, dont cette suite inédite au thriller
L'Outsider, qui illustrent, une fois de plus, l'étendue du talent de
Stephen King.
"je vous ai tant aimés..." ; Montant et Signoret, un couple dans l'histoire

Benjamin Castaldi se souvient de sa grand-mère Simone Signoret et d'Yves
Montand, le père adoptif de sa mère Catherine Allégret, dont il fut
proche jusqu'à la fin de leur vie, dans leur maison d'Autheuil. Il
imagine avec tendresse leur rencontre, et fait le récit de cet amour
extraordinaire.
À travers ce couple mythique, toute l'histoire du cinéma français, mais
aussi celle de la gauche, du communisme et de la fin des certitudes sont
contées. Une vie jalonnée de succès - Casque d'or, Les Diaboliques, Les
Chemins de la haute ville, La Veuve Couderc, La Vie devant soi ; Les
Feuilles mortes, Le Salaire de la peur, La Folie des grandeurs, César et
Rosalie, Jean de Florette... - et de combats pour la paix, pour tous ceux qui souffrent, tous ceux que l'on persécute.
De Marseille à Hollywood, de Moscou à Paris, côtoyer ces deux monstres
sacrés, c'est écrire une chronique du XXe siècle : depuis l'Occupation
jusqu'à la chute du mur de Berlin, sur les plateaux de cinéma, les
scènes de music-hall, dans la rue ou au bistrot.
Enfin, ce livre nous fait entrer dans l'intimité d'une famille, celle de
Benjamin Castaldi pour qui Montand et Signoret furent des modèles
inoubliables trop tôt disparus.
Le parfum des fleurs la nuit
Comme un écrivain qui pense que « toute audace véritable vient de
l'intérieur », Leïla Slimani n'aime pas sortir de chez elle, et préfère
la solitude à la distraction. Pourquoi alors accepter cette proposition
d'une nuit blanche à la pointe de la Douane, à Venise, dans les
collections d'art de la Fondation Pinault, qui ne lui parlent guère ?
Autour de cette « impossibilité » d'un livre, avec un art subtil de
digresser dans la nuit vénitienne, Leila Slimani nous parle d'elle, de
l'enfermement, du mouvement, du voyage, de l'intimité, de l'identité, de
l'entre-deux, entre Orient et Occident, où elle navigue et chaloupe,
comme Venise à la pointe de la Douane, comme la cité sur pilotis vouée à
la destruction et à la beauté, s'enrichissant et empruntant, silencieuse et raconteuse à la fois.
C'est une confession discrète, où l'auteure parle de son père jadis
emprisonné, mais c'est une confession pudique, qui n'appuie jamais,
légère, grave, toujours à sa juste place : « Écrire, c'est jouer avec le
silence, c'est dire, de manière détournée, des secrets indicibles dans
la vie réelle ».
C'est aussi un livre, intense, éclairé de l'intérieur, sur la
disparition du beau, et donc sur l'urgence d'en jouir, la splendeur de
l'éphémère. Leila Slimani cite Duras : « Écrire, c'est ça aussi, sans
doute, c'est effacer. Remplacer. » Au petit matin, l'auteure, réveillée
et consciente, sort de l'édifice comme d'un rêve, et il ne reste plus
rien de cette nuit que le parfum des fleurs. Et un livre.
Même les arbres s'en souviennent

Lassé de la vie urbaine, Lucas, trente ans, rend régulièrement visite à
Émilien, son arrière-grand-père, qui s'est retiré dans un petit
appartement proche du hameau où il a grandi. Lucas est très attaché à la
maison de famille qui le rappelle à ses origines car il sait que c'est
là que s'est joué le destin des siens. Un jour, il décide de restaurer
les vieux murs qui résonnent encore de l'histoire familiale et, pour
mieux s'en imprégner, demande à son arrière-grand-père d'écrire le récit
de sa vie.
Émilien raconte alors comment il est né dans ce hameau du Limousin en
1915, et comment, malgré un travail acharné, il a assisté à la
désertification des campagnes qui tentaient de basculer dans la
modernité. C'est pourtant là, dans ces venelles qu'il faut aujourd'hui
défricher, que Lucas et son arrière-grand- père aiment à rêver que tout
n'est pas perdu.
Dans ce récit sensible et plein d'espoir, Christian Signol évoque la
transmission entre des générations que tout semble séparer mais qui ont
en commun l'essentiel : le vrai sens de la mémoire et de la vie.
Cartes à gratter ; la Pat'Patrouille ; dino rescue
Un nouveau livret contenant 8 cartes à gratter de la Pat' Patrouille et
des dinos et le stylet en bois pour réaliser de jolis tableaux !
Peppa Pig ; cartes à gratter
Une pochette contenant 8 cartes à gratter à l'effigie de Peppa et George
dans leurs déguisements préférés, et un stylet en bois !